'La nuit est terreur, mais la nuit n'est que paix.'
Dans la nuit d'une terrible noirceur apaisante, où valse la lueur des étoiles,
S'insinue dans l'horizon l'halo lumineux des lumières de la ville.
Et dans ce fébrile éclairage, l'ombre noire de golems de fer se dressent çà et là,
Frappant l'immensité, souffrant la démesure,
Frôlant les étoiles d'une puissance incontrôlée,
Mais se berçant dans le silence nocturne,
Car le bruit sourd et monotone du monde flotte et oublie
Les hurlements de l'Homme et de la vie si sournois sous le soleil,
Pour offrir à l'atmosphère nocturne aux abords guerriers
Le pouvoir d'un havre de douceur et de repos.
La nuit est terreur, mais la nuit n'est que paix.